2020 - Contrôle du comportement

La stratégie du coronavirus génère intentionnellement l’anxiété

La peur est attisée presque quotidiennement par la couverture médiatique de la « crise Corona ». Cela ne semble pas être une coïncidence. Une étude scientifique suggère que la peur des virus et des bactéries devrait être intensifiée et que divers moyens de propagande devraient être utilisés pour accroître la volonté de se faire vacciner ! Voyez-vous les objectifs de ce rapport!

La peur est attisée quasi quotidiennement par la couverture médiatique de la « crise Corona ». Les nouveaux chiffres d'infection sont généralement évoqués par le RKI sans être référencés, tels que le taux de faux positifs des personnes testées. Il n'est pas non plus mentionné qu'une infection, c'est-à-dire les particules virales détectées par un test de coronavirus- n'est pas la même que pour une maladie à Covid-19. Après tout, environ 80 % des personnes infectées sont asymptomatiques [1]. En outre, des images de grands cercueils, de corbillards ou de tombes font la Une. Ceci dans le but d’influencer les émotions du public en déclarant le nombre des prétendus « cas de décès liés au coronavirus » au lieu de les mettre en rapport avec les décès quotidiens habituels. En effet, en Allemagne, par exemple, plus de 2 000 personnes meurent en moyenne chaque jour. Les allégations selon lesquelles le coronavirus attaque le système nerveux et d'autres organes ou provoque le syndrome de Kawasaki, une maladie inflammatoire aiguë chez les enfants, sont diffusées par les médias, sans que soient mentionnées d'autres maladies infectieuses pouvant également mais rarement causer de tels dommages. Les médecins le savent, mais les médias n'en parlent presque jamais dans le contexte d'infections courantes de type grippal par exemple, de sorte que le citoyen a l'impression que ces dommages indirects sont nouveaux et que le coronavirus est donc particulièrement dangereux ! [2]

La question se pose donc:

pourquoi nos médias présentent-ils des reportages sur le coronavirus de manière aussi angoissante ?

Ces dernières années, des rapports personnels émanant de la population et des études scientifiques publiées principalement par des médias alternatifs ont de plus en plus critiqué la pratique actuelle de la vaccination. Afin de contrecarrer cette critique, des études dites infodémiologiques [3] ont été évaluées pour le compte du ministère fédéral allemand de la santé après la vaccination contre la grippe porcine dont la population n’a pas voulu. L'infodémiologie est une nouvelle branche de la science qui contrôle activement sur Internet les données et les informations sur la santé. Une telle étude suggérait que la peur des virus et des bactéries qui peuvent causer une maladie devrait être revue à la hausse et que divers moyens de propagande devraient être utilisés pour accroître la volonté de se faire vacciner. [Étude : « Angst essen Impfbereitschaft auf ? » https://link.springer.com/article/10.1007/s00103-012-1595-z]

Citation:

En outre, la question de savoir si des incitations à la peur devraient être utilisées pour augmenter les taux de vaccination revient souvent dans nos discussions.

Dans ce cas, la peur serait déclenchée de manière ciblée afin d'obtenir un besoin de se protéger. Une méta-analyse de l'effet des incitations à la peur montre qu'ils sont les plus susceptibles à entraîner un changement de comportement, [...] [4] D'autres articles dans le domaine de la recherche en infodémiologie parlent de stratégies à voies multiples et de contrôles comportementaux pour accroître la volonté de se faire vacciner dans certains groupes de la population, y compris les stratégies de communication dites « scénario de l’effroi ». Un document de stratégie interne du gouvernement allemand recommande, à des fins de propagande, la comparaison n’ayant aucune base scientifique avec la grippe espagnole avec des jeux de nombres comme 2019 = 1919 + 1929. C’est un avertissement que si la pandémie du coronavirus ne peut pas être endiguée, elle sera aussi grave que la grippe espagnole et la crise économique mondiale réunies. Il recommande également d'attiser les peurs primitives en mettant l'accent sur la mort par suffocation et en faisant craindre aux enfants, en tant que prétendus vecteurs d'infection, qu'ils pourraient être responsables de la mort de leurs grands-parents. Selon le document, c’est la seule façon d’appliquer de façon draconienne les restrictions à la liberté [5]. Le professeur Drosten sait également comment provoquer des changements de comportement par la peur, et dans un entretien, il appelle cette stratégie psychologique « Desease Awareness » (conscience de la maladie). Il aimerait voir Internet « détoxifié », pour ainsi dire, en déclassant les chaînes et les sites des prétendus « récidivistes » (par exemple les critiques contre la vaccination et autres lanceurs d’alerte) afin qu'ils ne puissent pas être trouvés sur internet ou seulement avec difficulté. 6] En infodémiologie, ce type de censure est appelé surveillance active et fait partie de la gestion de la santé et des crises. [7]

de Dörte D./Tabea S. dod./ts.


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